Selon le rapport de 2022 d’Éduc’alcool à ce sujet, les plus récentes données démontrent que la «génétique explique environ 50% du risque de développer un TLUA, alors que les comportements acquis, surtout issus de l’environnement familial et social, expliquent l’autre 50%.» La Dre Marie-Pierre Dubé, professeure titulaire au Département de médecine et directrice du Centre de pharmacogénomique Beaulieu-Saucier de l’Institut de Cardiologie de Montréal, nous fournit des explications.