Les diabètes de types 1 et 2 sont bien connus de la population, mais il existe une forme hybride de la maladie, parfois appelée « type 1.5 », qui est souvent mal diagnostiquée, ce qui peut avoir des conséquences importantes pour les patients. Avec d’autres chercheurs, la Dre Nadine Taleb participe à mettre sur pied la première base de données sur ce diabète. Les chercheurs collectent des données sur les patients, comme leurs habitudes de vie, leur historique familial, leurs symptômes, ainsi que des échantillons sanguins, afin de mieux comprendre la maladie.