La chercheuse Dre Lena Rivard et ses collègues ont constaté que la prise d’anticoagulants ne réduit en rien le risque de déclin cognitif ou d’accident vasculaire cérébral des jeunes patients en santé traités pour une fibrillation auriculaire. Les résultats de cette étude ont été dévoilés il y a quelques jours à Chicago, dans le cadre d’un congrès de l’American Heart Association.