Le professeur Guy Rutter, du CRCHUM, et son équipe ont découvert des molécules qui permettraient de personnaliser le traitement du diabète de type 2. Ils ont découvert à partir d’échantillons de 3000 personnes diabétiques des molécules qui pourraient aider à personnaliser les traitements.
Publiée dans la revue Nature Communications, leur étude a permis de mettre en lumière de nouvelles molécules qui pourraient aider les équipes cliniques à prédire et à surveiller la dégradation du métabolisme du glucose.
«Dans nos travaux, nous avons choisi de doser systématiquement les biomarqueurs de la progression du diabète. Ils appartiennent à trois classes moléculaires bien différentes: les petites molécules chargées ou métabolites, les lipides et les protéines», explique Guy Rutter.
Pour lire l’article complet paru sur UdeMNouvelles, cliquez ici.